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test Child Of Light (PS4)

test Child of Light (PS4)
Je vous ai montré l’édition collector ici, maintenant c’est le moment de vérité. C’est parti pour mon test de Child of Light sur PS4 !!
N’oubliez pas de retrouver plus d’images du jeu, d’autres tests, gameplays, critiques,… sur mon blog !!

test Child of Light (PS4)     Développé par Ubisoft Montreal, le jeu nous permet d’incarner Aurora, une fillette d’un duc autrichien. On décède (ça commence bien ^^’) pour se réveiller dans un autre monde où règne créatures étranges et magie, celui de Lémuria. On voyagera dans cet univers particulier pour tenter de regagner notre chez-nous en réunissant Soleil, Lune et étoiles dérobés par la Reine Noire.
L’histoire est digne des meilleurs contes pour enfants. Malheureusement, une fois les grandes lignes tracées, ce scénario n’est pas beaucoup plus élaboré…

test Child of Light (PS4)     Les graphismes sont sans aucun doute la qualité la plus attirante du jeu. Utilisant le moteur graphique UbiArt Framework (Rayman Origins), on retrouve des dessins faits d’aquarelle. C’est juste MAGNIFIQUE !! On dirait un tableau vivant ! Sans oublier les animations qui sont plus que réussies !

 

La dizaine de lieux est variée et renforce la diversité graphique.
test Child of Light (PS4)

 

     Le gameplay est lui aussi soigné. C’est du jeu de plateforme 2D classique. Rien de compliqué étant donné qu’on a la capacité de voler. Mais une fois qu’un ennemi surgit (« un Pokemon sauvage apparaît ! ») et que le combat est lancé, le mode tour par tour est activé !
En bas de l’écran, la barre de temps permet de savoir l’ordre d’exécution. Il faudra jouer avec elle pour contrer l’ennemi et le ralentir.

 

J’ai vraiment aimé les combats contre les boss. Ils sont nombreux et originaux.

 

C’est là qu’intervient Igniculus. On le contrôle avec le joystick droit ou le pavé tactile. Lors de la phase d’exploration, cette petite boule bleue nous permet d’interagir avec l’environnement. C’est juste une aide. D’ailleurs de ce côté rien d’original, c’est un simple copier-coller de Puppeteer. Cependant, une fois en combat, il est d’une grande utilité stratégique: il ralentit l’ennemi et nous soigne !
Evidemment, on retrouve des éléments efficaces contre d’autres éléments… ou pas. Mais j’ai trouvé une difficulté récurrente à percevoir le type de l’ennemi.

 

Lors de l’affrontement, deux de nos personnages sont actifs. On peut tout de même décider de switcher. D’ailleurs notre petit groupe gonfle très vite avec l’ajout de nouveaux alliés, tous aussi originaux les uns que les autres, avec des caractéristiques différentes. Par contre, leurs progressions sont répétitives et très linéaires…
test Child of Light (PS4)     La bande-son est aussi prenante et magnifique que les graphismes. Je dirai mêmeenvoûtante. C’est Cœur de Pirate (voir ici) qui en est à l’origine, et ça se sent ! Sans parler des bruitages qui sont très bien reproduits.
Sachez que tous les dialogues rimes entre eux… oui oui, ça a du être une sacrée galère pour traduire le jeu !
test Child of Light (PS4)

 

     Pour un jeu à 15€, la durée de vie est plus costaude qu’un Call of Duty !! 6 heures en normal sont nécessaires pour venir à bout de la Reine. Ajoutez une heure ou deux pour conclure les quêtes annexes qui sont très intéressantes si vous avez apprécié l’histoire des différents personnages.

test Child of Light (PS4)

 

     Child of Light est une des rares pépites vidéoludiques qui marqueront les joueurs. Des graphismes uniques, une histoire poétique, des musiques nostalgiques et le gameplay est soigné aux petits oignons. Cependant, il a malheureusement des défauts. Un sentiment de vide domine. On n’a pas de réelle progression, le scénario est creux, l’univers est linéaire. Mais pour seulement 15€ (et cross-buy !!), vous n’avez pas le droit de passer au travers ! J’attends avec impatience une suite 😀 16/20

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