Sara Lone
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Sara Lone, un plaisir pour les yeux et une intrigue prenante

Sara Lone, un plaisir pour les yeux et une intrigue prenante

C’est en plein coeur du festival de la BD de lyon que je me suis aventuré sur le stand des éditions « Sandwave », une petite maison d’édition participatif qui mérite que l’on s’intéresse a son cas. Car c’est avec des histoires comme celle que je vais vous présenter un peu plus tard, et des éditions dignes des plus grandes maison que ce petit éditeur se présente sur le marché. Son but, vous êtes l’éditeur. C’est donc simple, vous financer le projet et grâce à vous celui-ci est mené à son terme. Oui un peu comme Ulule et autre kickstarter, pas tout à fait ici, des professionnels sont déjà passés pour faire un premier tri et apporter leurs savoir sur l’après financement. Autant vous dire que la distribution est déjà assurer dans les plus grands magasins et autres librairies. Sandwave a aussi dans son sac de très beaux ouvrages dont Sara Lone. Nous allons d’ailleurs nous intéresser à son cas. 

Sara Lone

Tout commence par une histoire d’amour sur une plage, ou plutôt par un meurtre sanglant sur cette même plage d’ailleurs. Vous l’aurez compris, nous sommes ici en présence d’une BD noyé dans les intrigues policières. Et pour tout vous dire cette BD a capté mon attention dès la première page, les intrigues arrivent vite et se font nombreuses, de quoi nous tenir en haleine un bon moment. Mais revenons en à notre meurtre, Un homme est retrouvé mort sur une plage, tout se tourne alors vers sa fille, Sara Lone, qui lorsqu’elle apprend la nouvelle ne réagit pas spécialement et reste de marbre devant celle-ci. De la, nait la première intrigue, viendra se mêler la mafia pour une seconde histoire de meurtre avec toujours en son centre, la belle et intrigante Sara Lone. Rentré pour l’enterrement de son défunt père, elle se retrouve face à un nouvel assassinat et une révélation qui animera de nouveau cette BD. L’ambiance quand à elle, nous emmène en plein coeur de l’Amérique des années 50 et le dessin nous le fait bien ressentir. Je dois avouer que j’ai vraiment eu un coup de coeur pour le trait de Morancho, il donne de la dynamique dans son dessin et le coté burlesque de Sara Lone est bien présent. Donc nous retrouvons donc Sara Lone, devrai-je dire Joy Carruthers, au coeur de deux meurtres, poursuivi par la mafia qui a mis un contrat sur ça tête et qui n’arrive pas à se débarrasser des services secrets qui la collent sans jamais lui dire pourquoi, au coeur de cette dernière intrigue, un simple morceau de papier dissimuler dans une boite de cigare. Et entre nous, Kennedy passe à la télé entre deux cases, ne loupez pas cela … 

Sara Lone

Arnoux connait son sujet et nous le démontre dans ce premier tome. Le tout se conclue plutôt bien avec la résolution des intrigues annexes et sans vraiment savoir où nous emmènera les prochaines. C’est donc à rebondissement que nous concluons ce tome avec la forte envie de découvrir la suite. Bonne nouvelle pour vous et pour moi aussi d’ailleurs, c’est que le second et troisième tome ont tout deux récoltés les sommes nécessaire à leur édition. Nous allons donc très vite les retrouver et je peux vous dire que je ne cacherai pas ma joie à l’idée de continuer cette série. Je vous partagerai bien évidemment le tout par ici. Le tome 1- Pinky Princess est toujours disponible contre 11€95, un prix plus que raisonnable pour un divertissement qui vaut le coup d’oeil. 

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L'art nous permet de nous évader, de fuir ou de rêver et pourtant l'art qui nous entoure à une histoire bien plus grande. c'est peut être ce qui m'a poussé à tomber dedans. L'art et ses dérivées font partis de moi depuis tout petit et je pense qu'ils ne me quitteront jamais ....

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