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The Black Beetle

The Black beetle

Black beetle se présente à nous avec un petit air de retro, Francesco francavilla signe ici un bien bel ouvrage qui ravira bon nombre de personne. Publié dans un premier temps chez Dark Horse comics aux états unis, Urban nous offre la traduction dans sa collection « urban indies ». Comme çà son habitude, urban nous sert une édition soigné et bourré de bonus que nous adorons dévorer.

the black beetle

C’est donc au cœur de « Colt city » que nous atterrissons, une ville en plein cœur des états unis plongé dans les années 40. Une ville avec ces hauts et ces bas, où les petits trafics et autres crimes divers se développent plutôt bien. Mais une ombre rode dans la nuit et préfère défendre la population plutôt que de se ranger du côté des malfrats, j’ai nommé le black beetle. Pas de gadgets, pas de super armures, ni de collants pour ce coup, simplement un homme, un costume et de la volonté. Et d’ailleurs un costume plutôt surprenant que nous prenons plaisir à découvrir case après case.

Mais alors qu’une exposition à lieu , un artefact aux pouvoirs mystérieux est convoité par les nazis, et lorsque ceux-ci décident de le récupérer, notre black beetle n’hésite pas à s’en mêler. S’en suivront une histoire mouvementée avec un final très agréable autant sur le point du scénario que du dessin. Une vrai enquête avec de l’action que nous allons pouvoir suivre de l’intérieur grâce au scénario très bien mis en forme par Francavilla.

 

the black beetle

Le dessin et la mise de Francavilla sont somptueux, son découpage de certaines pages est tout simplement magnifiques. Lorsque que le black beetle présente sa réflexion qui l’amènera à conclure l’histoire, Francavilla réussi en une double page à nous bluffer. De plus lorsque l’on sait qu’il réalise le scénario, le dessin, l’encrage et la colorisation, on ne peut que dire bravo.

C’est donc une très belle lecture, surprenante et une chose est sure c’est que malgré ce côté Batman sans gadget, on ne peut qu’apprécier. De plus le rythme est là, les pages s’enchainent bien et l’histoire ne part pas dans tout les sens. Enfin bon tout cela pur vos dire que si vous hésitiez encore, vous pouvez sauter les deux pieds dedans. « colt city » vous ouvre les portes, mais attention le black beetle vous a à l’œil.

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L'art nous permet de nous évader, de fuir ou de rêver et pourtant l'art qui nous entoure à une histoire bien plus grande. c'est peut être ce qui m'a poussé à tomber dedans. L'art et ses dérivées font partis de moi depuis tout petit et je pense qu'ils ne me quitteront jamais ....

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